LES ANIMAUX EN THAÏLANDE

Publié par Rawai.fr - Mis à jour le 31/07/2024
NON AU BOYCOTT SYSTÉMATIQUE !
Beaucoup de défenseurs de la cause animale nous encouragent à boycotter tous les zoos, les spectacles mettant en scène des serpents ou des singes, les balades à dos d'éléphants et même les aquariums en Thaïlande...
Nous nous contenterons personnellement de ne pas participer à l'exploitation mercantile des activités dans lesquelles les animaux sont réellement maltraités, sans pour autant appeler à un boycott général ou relayer des infos pas toujours exactes...
Sous prétexte de défendre une cause, on dit souvent beaucoup de conneries quitte à ruiner des familles dont les uniques ressources financières proviennent d'activités mettant en scène des animaux. Je ne parle évidemment pas des pratiques immondes comme les trafics d'animaux rares ou le commerce de l'ivoire, je pense plutôt aux familles thaïlandaises qui organisent depuis plus de 40 ans, des trekkings dans la jungle avec des éléphants. Ces braves gens voient leur business anéanti à cause d'une poignée de bobos australiens qui multiplient les appels au boycott sur les réseaux sociaux et les médias...
Il est selon nous beaucoup plus important de dénoncer les conséquences de la déforestation massive et les effets intrusifs directs de la culture du palmier à huile sur le monde animal et végétal.
Notre unique conseil à suivre durant votre séjour en Thaïlande (et ailleurs) : ne dérangez pas les animaux sauvages (dangereux ou non), sachez vous tenir à bonne distance et ils supporteront votre présence sans animosité. Par contre, j'encourage tout le monde à écrabouiller ces cochonneries de scolopendres avant qu'elles ne vous bondissent à la face...
L'ESSENTIEL SUR LES ANIMAUX DE THAÏLANDE
TRANSPORTS À PHUKET ET EN THAÏLANDE

LES SERPENTS

La sempiternelle question du touriste : Y a-t-il des serpents à Phuket ? Oui et même beaucoup... puisque l'île est l'endroit dans le sud-est asiatique où l'on dénombre la plus grande variété d'espèces !
Cela dit pas de panique les accidents sont très rares et la légende prétend qu'il y a plus de victimes avec les chutes de noix de coco qu'avec les morsures de serpents !
Aussi bien en ville qu'en milieu rural, il n'est pas rare de croiser un cobra, un python ou les petits serpents verts si bien camouflés dans les feuillages...
On recense plus d'une soixantaine de variétés dans le pays dont une majorité dangereuse. Les principales familles sont les cobras, les vipères, les serpents de mer, les pythons, les couleuvres, les serpents d'eau, les serpents loup, les serpents d'arbre, les serpents fouets, les serpents corail, etc...
Il faut donc rester prudent mais en général ils fuient dès qu'ils ont détecté notre présence... Si le serpent attaque, c'est qu'il estime ne pas avoir suffisamment de temps pour déguerpir.
L'un des plus grands spécimens de python a été capturé en Thaïlande et avait une longueur de 12,20 mètres et un poids de 220 kg !
LES SINGES

Toujours amusant de voir les singes entraînés pour décrocher les noix de cocos. Dans quelques temps ces pauvres bêtes devront se trouver un autre job vu l'acharnement de certains parasites occidentaux, défenseurs de la cause animale, qui estiment qu'il s'agit de maltraitance et implorent le gouvernement à interdire cette méthode de récolte ancestrale.
En Thaïlande, on peut observer dans les forêt les surilis, les macaques (on dénombre 6 familles différentes), les lutungs (2 familles) et les hylobates (4 familles), plus communément appelés les gibbons.
Il est recommandé d'éviter d'approcher les singes sauvages de trop près, ils sont agressifs, peuvent frapper et mordre. On se souvient d'une femme agressée par des macaques qui fut poussée hors de son balcon et dont la chute fut fatale...
Lopburi est la ville de Thaïlande où il y a le plus de singes. À l'origine les singes passaient la journée à San Phra Kan et ne quittaient le sanctuaire que la nuit venue, traversant la rue pour aller se jucher sur les tours de Phrang Sam Yot. Récemment, la bande de singes s'est scindée en deux. Un groupe dissident, à la tête duquel se trouve un mal dominant à moitié aveugle, a abandonné le calme des sanctuaires pour les lumières de la ville.
Ces renégats causent de nombreux dommages en se balançant sur les devantures des magasins et en répandant leurs excréments sur le pare-brise des voitures. De nombreux habitants de la vieille ville ont même été contraints de prendre des mesures pour protéger leur antenne de télévision. Certains jurent que les singes de la cité prennent les trains d'assaut pour se rendre dans d'autres régions, ne revenant à Lopburi qu'après s'être bien promenés...
L'ÉLÉPHANT

À la fin des années 90, on pouvait encore observer les éléphants en liberté à Phuket, il s'agissait de garder l'oeil ouvert en conduisant...
À l'école de Chalong (pendant les vacances scolaires) un pachyderme contrarié avait tout détruit, cela avait encouragé les autorités à envoyer les dernières bêtes sauvages sur les îles proches. Période donc révolue puisque les derniers éléphants que l'on peut voir sont utilisés pour les "trekking" ou au zoo.
Ses défenses d'ivoire, incisives supérieures allongées sont surtout visibles chez les mâles adultes et peuvent atteindre jusqu'à 1 mètre de long et peser 100 kilos. Sa longévité est de 70 ans mais la moyenne d'age se situe plutôt entre 40 et 50 ans.
Par rapport à leurs congénères d'Afrique, les éléphants d'Asie sont plus petits, possèdent des oreilles moins larges ainsi que deux bosses au sommet de la tête. Ils ont le dos rond ou plat au lieu d'être creusé et leur trompe, dont l'extrémité leur permet d'attraper et de saisir, n'est munie que d'un seul doigt au lieu de deux chez l'Africain.
Son régime alimentaire copieux (200 kilos par jour) est très varié : plantes sauvages, fleurs de palmiers, bananes, morceaux de bois ou d'écorce, feuilles, etc… Il se déplace dans la jungle, très facilement malgré sa stature imposante, et possèdent une grande stabilité due à la taille de ses pieds.
Longtemps utilisé par l'homme comme moyen de transport en forêt ou même comme animal de guerre dans les armées, c'est surtout comme animal de trait, chargé de transporter les troncs d'arbres abattus, qu'il fut employé ces dernières décennies.
En 1989, la loi interdisant l'abattage des grands arbres en Thaïlande (en particulier les tecks) eu pour conséquence de priver les éléphants de leur emploi traditionnel. Quelques spécimens devinrent l'attraction de centres de dressage ou furent exploités dans le secteur touristique. La plupart furent laissés pour compte, abandonnés par leurs propriétaires qui n'avaient plus les moyens de s'en occuper et pris en charge par des organismes de protection.
Au début du 20ème siècle, plus de 100 000 éléphants étaient signalés sur le territoire thaïlandais. On en dénombre actuellement moins de 4000, concentrés dans le nord et les parcs nationaux.
LE VARAN

Méfiez-vous des varans, ils sont rapides et peuvent mordre, ils ne sont pas venimeux mais la gueule de l'animal est d'une telle putréfaction que l'infection suite à une morsure peut être fatale...
On les trouve généralement avec un peu de chance, le long des côtes rocheuses, sur les plages à la recherche de quelques charognes.
Le Varan malais peut atteindre presque 3 m de long et peser jusqu'à 60 kg. Cependant, la moyenne des individus mâles est inférieure à 2 m. Il vient en troisième position par la taille après le Varan-crocodile et le Dragon de Komodo. C'est un animal semi-aquatique.
Le varan malais est un très bon nageur, il séjourne souvent dans l'eau où il passe volontiers la nuit. Les varans s'apprivoisent assez facilement et vivent jusqu'à 20 ans en captivité.
Leurs mâchoires sont solides mais peu puissantes. Ils grimpent aux arbres sans aller très haut à la recherche de proies. Les varans sont actifs le matin lorsqu'il fait encore frais, ensuite ils se réfugient à l'ombre des arbres et des arbustes.
LA SCOLOPENDRE

Laide, dangereuse et agressive, la scolopendre fait bondir ceux qui la connaissent. Généralement on trouve cette sale bestiole sous la terre, sous les cailloux mais elle se fourre partout y compris à l'intérieur des maison, sa morsure est très douloureuse voire mortelle chez les plus faibles.
Chacun des nombreux segments porte une paire de pattes sauf le premier dont la paire d'appendices est transformée en paire de crochets à venin. La morsure des plus grandes espèces est douloureuse pour un homme adulte et peut parfois être dangereuse pour un enfant. On la trouve dans tous les pays tropicaux. Il existe de nombreuses espèces différentes pouvant dépasser les 30 cm de long sous les tropiques.
Elles sont toutes terrestres mais ont besoin d'un milieu humide. Ce sont des espèces lucifuges (qui fuient la lumière). Elles affectionnent les lieux sombres, humides et chauds (bois, litière ou friches, recoins sous les pierres, écorce des arbres). Les scolopendres se faufilent occasionnellement dans les maisons, bâtiments, tentes… par de petits orifices. Elles quittent leur abri pour chasser la nuit et se nourrissent d'insectes (araignées, fourmis, cafards...). Les plus gros spécimens n'hésitent pas à s'attaquer à de petits mammifères (souris, lézards…). Les scolopendres attaquent leurs proies de manière foudroyante ! Elles peuvent vivre cinq ou six ans et jouent un rôle important dans les communautés d'espèces qui contribuent à la production du sol et en particulier de l'humus.
LE GECKO

Ce sympathique reptile est très courant dans toute l'Asie du sud-est, comme les petits lézards, il se gave d'insectes toute la journée. Ses couleurs varient selon ses humeurs.
Ce nom provient du malais « Gekoq », qui est une onomatopée correspondant au cri d'un gecko indonésien.
Les mâles ont des pores fémoraux (petits points) en forme de V au-dessus du cloaque. Le mâle crie de façon différente par rapport à la femelle.
Le Gekko gecko présente la particularité d'avoir des setae : il s'agit de poils microscopiques situés sous ses pattes, qui offrent un grand pouvoir d'adhésion sur des supports lisses, verticaux. L'animal peut se mouvoir sur des plafonds.
Ce gecko plutôt massif, doté d'une grosse tête à la mâchoire puissante, il peut mesurer jusqu'à 35 cm pour les plus grands spécimens. Il est nocturne, gris bleuté avec des points blancs et rouges régulièrement espacés, et des excroissances.
Le gecko est insectivore et carnivore. Il consomme la plupart des insectes de taille adaptée, et n'hésite pas à consommer de petits reptiles (dont à l'occasion de sa propre espèce) ou de petits mammifères comme des souriceaux ou de petits oiseaux. Il ne se nourrit que de proies vivantes.
LE COLUGO (LEMUR VOLANT)
Le galéopithèque (Colugo) ou "lémur volant".
Le galéopithèque, de l'ordre des dermoptères, est un rongeur volant de la famille des marsupiaux vivant dans la péninsule sud-thaïlandaise. Il se caractérise par sa petite taille (34 à 42 centimètres de long dont 25 centimètres de queue). Son museau est semblable à celui des chiroptères (chauves souris).
Ses membres antérieurs sont reliés aux membres postérieurs et aux flans par une membrane alaire, le "patagium" qui lui permet un vol plané prolongé de plusieurs dizaines de mètres (parfois même de plus de 100 mètres). Cette membrane enserre également la queue et les doigts, toujours au nombre de cinq et munis d'ongles courts recourbés.
Le galéopithèque est actif la nuit et vit dans les arbres. Pendant la journée, il se suspend aux branches le dos vers le bas, protégé par son pelage moucheté mimétique. Il se nourrit de feuilles et de fruits qu'il porte à sa bouche avec ses mains.
LE TARSIER

Le tarsier est une créature difficile à apercevoir. Il ne bouge presque jamais de l'arbre qu'il a choisi comme logement. Il y reste toujours et il bouge uniquement pour se nourrir. La photo ci-dessus montre un tarsier des Philippines.
Minuscules primates de 15 cm (sans compter la queue), les tarsiers ont des yeux énormes et de très longs pieds, d'où leur nom : les os du tarse étant très développés chez eux. Mammifères nocturnes, discrets et farouches, les tarsiers ont des oreilles capables de s'orienter dans toutes les directions. Ils sont essentiellement insectivores, et capturent les insectes en bondissant dessus, d'une branche à l'autre. Il leur arrive de chasser des oiseaux, leurs œufs et des serpents. La gestation dure environ six mois et n'aboutit à la naissance que d'un seul petit.
LE PANGOLIN

Les pangolins (du malais pang goling : "celui qui s'enroule") ou Manidés (Manidae) sont une famille de mammifères insectivores édentés dont le corps allongé est en grande partie recouvert d'écailles. Ce qui leur vaut d'être aussi appelés fourmiliers écailleux. Ils vivent dans les régions tropicales et équatoriales d'Afrique et d'Asie du Sud-Est.
Avec ses écailles soudées, on peut le confondre avec les membres de la classe des reptiles.
Le pangolin possède des similarités extérieures avec l'oryctérope et le tatou. Selon les espèces, le corps, brunâtre et allongé, mesure entre 30 et 80 cm de long. Il est prolongé par une queue parfois plus longue encore. Le pangolin géant, le plus grand, pèse jusqu'à 35 kg et mesure 1,5 m. La tête est étroite et allongée. Les pattes, courtes, se terminent par cinq doigts griffus. Les écailles, entre lesquelles poussent quelques poils, s'imbriquent pour recouvrir les surfaces supérieures et latérales du corps, queue comprise. Seuls le museau, le ventre et l'intérieur des pattes en sont dépourvus. La langue est très longue et mesure jusqu'à 30 cm chez le pangolin géant.
Le pangolin se nourrit essentiellement de fourmis et de termites mais aussi d'autres invertébrés grâce à sa langue visqueuse sur laquelle les insectes restent collés. Il fouille les termitières, les excréments d'éléphant, les feuilles à terre, les base de troncs, l'herbe et les buissons à la recherche de ses proies.
En cas de danger, à l'instar des tatous, le pangolin rabat sa tête entre ses pattes antérieures et s'enroule sur lui-même. Il peut blesser l'attaquant en contractant ses puissants muscles afin de hérisser ses écailles.
Le pangolin étant solitaire, le mâle et la femelle ne se rencontrent que pour s'accoupler. La femelle ne donne généralement naissance qu'à un petit, dont les écailles ne durcissent qu'après quelques jours. Lors du déplacement, les petits s'accrochent sur le dos ou à la queue de la mère.
LA FAUNE MARINE

Nous ne citerons dans ce paragraphe seulement les animaux marins emblématiques des eaux thaïlandaises. Notons que le crocodile des mers et le varan n'hésitent pas à faire de nombreuses incursions en Mer d'Andaman et dans le Golfe de Thaïlande. Les plongeurs rencontreront fréquemment le serpent de mer appelé " krait marin bagué ". Il est peu agressif et c'est tant mieux puisque son venin est extrêmement toxique... Il est très rare d'observer ces 3 espèces sur les plages fréquentées de Phuket.
Il faudra se méfier davantage de certaines méduses, lors de la saison des pluies.
LA LIMULE
Ses oeufs sont très appréciés par les Thaïlandais (on les surnomme le " caviar thaï "...). Ils sont servis très épicés, en salade. La texture des oeufs croque agréablement sous les dents mais le goût est absent, évincé par la puissance du piment... Même si la plupart des locaux ont pris conscience du déclin de l'espèce, vous pourrez en voir (cuisinés ou pas) sur les étals de quelques restaurants situés sur les rivages du pays.
Cet animal mi-crabe, mi-araignée aurait été la source d'inspiration des designers pour représenter Alien (à l'éclosion) au cinéma. La limule fait partie des animaux les plus anciens (plus de 400 millions d'années) encore présents sur terre même si quelques évolutions morphologiques ont eu lieu.
Elle est parfois appelée " crabe des Moluques " ou " crabe au sang bleu ", bien qu'il ne s'agisse pas d'un crustacé mais d'un chélicère comme les araignées et les scorpions.
Depuis les années 60, les propriétés uniques de son sang sont très étudiées. Il serait aujourd'hui utilisé pour traiter certains cancers.
LA TORTUE MARINE
Sur les plages du nord de Phuket, vers l'aéroport, les tortues marines viennent pondre.
La tranquillité des plages de Nai Yang et Mai Khao, loin des flux touristiques, en fait des endroits privilégiés pour la ponte des tortues de mer géantes (Giant Ridley Sea Turtle), qui peuvent peser jusqu'à 850 kg. Chaque année, entre novembre et février, ces géants patauds se hissent sur la plage durant la nuit pour pondre leurs œufs, creusant des trous avec leurs nageoires postérieures pour les y enfouir. Elles peuvent pondre jusqu'à 200 œufs. Malheureusement, le nombre de ces tortues de mer continue de décliner. Pour en assurer la sauvegarde, des programmes de sensibilisation ont été mis en place, et de jeunes tortues nées en captivité sont remises en liberté. Les tortues pondent généralement très tard dans la nuit, mais peut-être aurez-vous la chance d'être témoin de ce miracle de la nature. Soyez alors très discrets et essayez de ne pas les déranger. Un autre endroit de ponte se trouve à Thaï Muang, à une trentaine de kilomètres de là, hors de l'île.
On pense que certaines tortues marines peuvent dépasser les 150 ans. On a mesuré un record de plongée de 6 heures pour une tortue verte.
LE DUGONG
LE REQUIN-BALEINE

LES ANIMAUX DANGEREUX EN THAÏLANDE

Si vous apercevez un éléphant sur votre route, tenez-vous prêt à faire demi-tour. Si vous êtes en 2 roues, laissez passer les serpents et les chiens sans vous en approcher de trop près. À la tombée de la nuit, protégez vous des moustiques.
Voici une liste des animaux (classée par ordre de dangerosité) qui pourraient perturber votre voyage et vous emmener directement à l'hôpital. À vous de prendre vos précautions et de regarder où vous mettez les pieds.
LES MOUSTIQUES :
Le moustique est vecteur de maladies graves : encéphalite japonaise, dengue, paludisme. Ses piqûres sont désagréables et son vrombissement perturbe nos douces nuits thaïlandaises.LES SCOLOPENDRES :
En général on trouve cette sale bestiole sous la terre, sous les cailloux mais elle se fourre partout y compris à l'intérieur des maisons, sa morsure est très douloureuse voire mortelle chez les plus fragiles.LES CHIENS :
En Thaïlande, les chiens errants surgissent des bords de routes et provoquent fréquemment des accidents. Sur les plages et dans les campagnes, ils sont quelquefois agressifs et peuvent mordre.LES SINGES :
Il est recommandé de ne pas nourrir les singes et d'éviter de les approcher de trop près, ils sont agressifs, peuvent frapper et mordre.LES MÉDUSES :
Pas de quoi s'affoler, on estime que dans le monde, seulement une cinquantaine de décès sont dus chaque année aux piqûres de cuboméduses (méduses boîte, plutôt rares en Thaïlande et seulement durant les périodes de mousson) ou de galères portugaises (Physalia utriculus).LES SERPENTS :
On recense plus d'une soixantaine de variétés dans le pays dont une majorité dangereuse. Les principales familles sont les cobras, les vipères, les serpents de mer, les pythons, les couleuvres, les serpents d'eau, les serpents loup, les serpents d'arbre, les serpents fouets, les serpents corail...LES VARANS :
Méfiez-vous des varans, ils sont rapides et peuvent mordre. Ils ne sont pas venimeux mais la gueule de l'animal est d'une telle putréfaction que l'infection suite à une morsure peut être fatale... On les trouve généralement le long des côtes rocheuses, sur les plages à la recherche de quelques charognes.LES SCORPIONS :
Le Scorpion noir est une variété très répandue en Thaïlande. Il est toutefois assez rare de les observer (exceptés cuits, sur les étals des marchés). Tout comme les scolopendres, les scorpions sont venimeux et leur piqûre est très douloureuse, mais pas dangereuse, sauf en cas d'allergie au venin.LES ÉLÉPHANTS :
Les éléphants peuvent être à l'origine d'accidents graves et de violences envers les humains. Ce sont généralement les mâles qui durant leur période de rut, sont sujets à des réactions imprévisibles.QUE FAIRE EN CAS DE PIQÛRE OU MORSURE ?



